Mon fils est un miracle, il l'est vraiment. En raison d'une forme sévère d'endométriose, plusieurs médecins m'avaient dit que devenir mère était exclu, j'avais 30 ans. Après une longue période d'essayer d'accepter mon destin, des périodes de deuil et de déni, j'ai finalement atteint un point dans la vie où j'ai décidé de m'appuyer sur ma propre force et de suivre mon intuition. J'avais 38 ans à l'époque et j'ai dû changer beaucoup de choses pour tomber enceinte. J'ai commencé à vivre différemment, plus sainement, je faisais plus souvent de l'exercice. J'ai changé mes habitudes de sommeil, travaillé moins, mangé des aliments biologiques, bu beaucoup, beaucoup d'eau. J'ai surtout travaillé sur mon état d'esprit et commencé à pratiquer ma gratitude.
En regardant en arrière le processus de devenir mère, je suis toujours convaincue qu'un mode de vie sain a significativement influencé mon corps. Mais mon état d'esprit était la clé absolue. Cela a pris une éternité (c'est comme ça que je l'ai ressenti) avant que j'arrive au point de croire en moi (et non aux médecins qui m'ont diagnostiquée). Entre-temps, j'avais développé une relation amour-haine (dans tous les domaines) avec mon corps vieillissant. Quand on rencontre des problèmes de fertilité, les médecins tirent la sonnette d'alarme quand on dépasse l'âge de 35 ans. On m'a régulièrement rappelé que non seulement mon extérieur mais aussi mon intérieur était en déclin. Tic Tac, Tic Tac… tu vieillis, arrête l'horloge, tiens mes ovules, il y a tellement plus que je veux faire.
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